Au bout de 7 ans, j'ai intégré le bureau d'étude et développement de l'entreprise !

J’ai commencé à travailler à la Maroquinerie Thierry en 2012. J’avais 21 ans, j’étais mère d’une petite fille de 3 ans et salariée en grande surface depuis deux ans et demi.

Je ne connaissais rien au métier du cuir mais le travail manuel, créer de ses propres mains m’avait toujours attirée, et ce depuis toute petite.
J’ai été formée au sein de l’entreprise durant 6 mois. 6 mois pendant lesquels j’ai appris ces gestes métier, ce savoir-faire propre au cuir que je prenais plaisir à découvrir jour après jour.

J’ai commencé en novice et, au bout de 7 ans, j’ai intégré le bureau d’étude et développement de l’entreprise !
Une belle récompense personnelle puisque je n’ai aucun diplôme dans le domaine. La Maroquinerie Thierry m’a donné l’opportunité et la chance de développer ce travail manuel qui aujourd’hui m’apporte la satisfaction et la fierté de fabriquer de mes mains de beaux produits de qualité.

J’en apprends chaque jour un peu plus et ce n’est que le début !

Ce que j’aime dans ce métier c’est qu’on ne s’ennuie jamais !

Je me suis pas mal cherchée avant de trouver ma voie. Je voulais travailler dans la police montée mais les études ne me plaisaient pas. Ma passion pour les chevaux m’a alors orientée vers la sellerie/maroquinerie. J’ai donc passé mon diplôme de Maroquinerie d’Art à Montbéliard.

J’ai débuté dans une maroquinerie de luxe dans le Doubs puis dans une petite entreprise en Belgique qui faisait du prototypage. Ça m’a permis d’avoir une vision globale du métier. Puis j’ai eu envie de revenir en France et j’ai postulé à la Maroquinerie Thierry. Aujourd’hui, je fabrique mes produits du début à la fin et je ne m’ennuie jamais. L’ambiance est bonne ici et la région magnifique… Je me sens bien !

Mon secret ? Je suis amoureux de mon métier !

Je suis d’origine thaïlandaise et je vis en France depuis 10 ans. J’ai répondu à une offre d’emploi d’une agence d’intérim et après 4 mois de formation à Poisy, j’ai débuté à la Maroquinerie. Au début, ça n’était pas facile, je ne parlais pas français. Mais je me suis senti bien et je suis tombé amoureux de mon métier !

J’adore travailler en me concentrant sur ma tâche. Depuis 10 ans je ne me suis pas ennuyé une seconde. J’échange beaucoup avec mes collègues. Aujourd’hui, je suis référent dans l’atelier et je travaille avec Sylvie aux Méthodes sur des prototypes ou des maquettes. J’apprends, j’écoute, j’évolue… c’est passionnant !

MOI, J’AI TOUT APPRIS ICI À LA MAROQUINERIE !

Je suis entrée à la Maroquinerie en 1988. Ici, j’ai tout appris sur le tas avec une soif d’apprendre que je ne soupçonnais pas ! En 1994, j’ai migré à Paris dans l’atelier d’une grande marque de luxe. Une expérience formidable. En 2005, je suis revenue ici pour monter le Bureau des Méthodes. C’était mon tour d’amener mon expérience pour préserver et enrichir nos savoir-faire.

Je suis la garante des bons process, des bons gestes et des bonnes pratiques. Je collabore aussi avec la styliste de notre client. Depuis peu, nous avons aussi développé un Bureau d’Etudes. C’est hyper enrichissant d’intervenir de plus en plus en amont !

C’est valorisant de réaliser son produit de bout en bout.

J’adore fabriquer des choses avec mes mains. C’est valorisant de réaliser son produit de bout en bout. J’aime bien me fixer des défis, et atteindre l’excellence dans mon métier en est un. Ici, même si on n’est pas dans une production industrielle, il faut respecter une certaine cadence.

Dans l’atelier, tout le monde est concentré sur son travail mais sans stress ni esprit de compétition. On échange entre nous et on se file des tuyaux. Et puis, on peut discuter facilement avec la hiérarchie. Même le patron est accessible !

ICI, MOI JE ME SUIS TOUT DE SUITE SENTI EN CONFIANCE !

La maroquinerie c’était un challenge pour moi. À la base, j’étais dans le bâtiment à faire du gros œuvre. Comme je n’aime pas la routine, j’ai voulu changer de voie et découvrir autre chose. Et me voilà à la Maroquinerie à fabriquer des petits objets en cuir !

Au début, j’étais maladroit et je manquais de précision. Et puis, je me suis formé et j’ai appris à être plus patient, plus minutieux, plus pro quoi ! Mais, on m’a bien aidé aussi, tant la direction que mes collègues. On apprend, on échange, on partage en toute bienveillance. Je me suis vite senti en confiance. Bien dans ma tête, bien dans ma peau !

Travailler dans cet univers, c’est très gratifiant !

À la base, j’avais un Bac Pro Vente Agro Alimentaire. Et puis, j’ai trouvé du travail dans une entreprise qui faisait de la sous-traitance à Semur-en-Auxois. Après m’être formée au métier de maroquinier, j’y suis resté 5 ans. Je suis ensuite partie en Vendée, pour travailler directement dans une maison de maroquinerie. L’univers était intéressant mais le travail un peu trop standardisé.

J’ai recherché un poste plus artisanal et je suis tombée sur la Maroquinerie Thierry. Ici, c’est beaucoup plus varié et je travaille sur plein de modèles différents. J’ai la chance de faire un beau métier et de réaliser des produits magnifiques qui sont de véritables objets d’art. Franchement, travailler dans cet univers, c’est très gratifiant et motivant.

RÉALISER QUELQUE CHOSE DE SES MAINS, C’EST EXALTANT !

Lorsque j’étais chargé de communication à la Maison de l’Outil à Troyes, j’ai découvert l’histoire de tous ces beaux métiers d’artisanat. Et ça m’a donné envie de faire un métier manuel.

Je suis arrivé en 2018 à la Maroquinerie après un CAP de Sellerie. Réaliser quelque chose de tes mains, c’est très exaltant et très exigeant. Tu es face à tes limites. Si tu n’as pas le geste, tu ne peux pas l’improviser. Tout s’apprend, se transmet et s’acquiert patiemment par la répétition. Mais quand tu vois le résultat, tu es vite récompensé avec un sentiment de fierté assez unique. Il parait que quand j’en parle j’ai les yeux qui brillent !